Hélène Giannecchini : Réinventer les liens de filiation pour « tenir ensemble » (Un désir démesuré d'amitié)
- 6 sept.
Laure Gauthier : « Quand on commence à écrire, tout dialogue : depuis les paysages qu’on traverse jusqu’aux films, aux rencontres » (Mélusine reloaded)
- 6 sept.
Amira Ghenim : Le goût amer de la domination des femmes (Le Désastre de la maison des notables)
- 4 sept.
Jennifer Tamas : « On peut situer la galanterie dans l’histoire des sexualités et comprendre la révolution culturelle » (Peut-on encore être galant ?)
- 4 sept.
Lucie Taïeb : enquête dans les ruines hantées du capitalisme (La Mer intérieure)
- 4 sept.
Gwenaëlle Aubry : dépersonnaliser, dit-elle
- 3 sept.
Julia Deck : « Jusque-là, je m’étais refusée à utiliser le matériel autobiographique : un tel interdit, cela ressemblait à un désir refoulé » (Ann d’Angleterre)
- 3 sept.
Ananda Devi : « L’histoire commune de l’humanité nous éclaire et nous condamne » (La nuit s’ajoute à la nuit)
- 3 sept.
Eva Baltasar : voix sauvage, poétesse aguerrie (Mammouth)
- 2 sept.
Louise Chennevière : « L’imaginaire de la jeune fille, que je cherche à démonter, a imposé une violence réelle à nos corps » (Pour Britney)
- 2 sept.
Julia Deck : À la poursuite de ma mère (Ann d’Angleterre)
- 2 sept.
Lucile Novat : « Les prises de parole des meufs kamikazes sont les courroies de transmission qui autorisent la discussion » (De grandes dents)
- 1 sept.
Rentrée féminine, rentrée féministe