- il y a 2 heures
Jacques Rancière : « La libération ne vient pas de la connaissance de sa condition mais au contraire de la volonté de ne plus la connaître »
- il y a 3 jours
"Houris" de Kamel Daoud ou… écrire sa catabase
- il y a 3 jours
"Fugues" ou les aventures du premier roman
- il y a 3 jours
Claude Faber : « Le rôle du libraire est plus important pour le deuxième roman »
- il y a 4 jours
Cracker l'époque : Edouard Morena (épisode 2)
- il y a 5 jours
Marie Vingtras : « Les premiers romans semblent être une vraie passion française » (Les Âmes féroces)
- il y a 5 jours
Louise Bentkowski : « Si la parenté avait à voir avec l’invention, je voulais pouvoir revoir l’histoire inventée sur laquelle je reposais » (Constellucination)
- il y a 6 jours
Laure Gouraige : « Comme écrivaine, je m’inquiète d’être répétitive » (Le Livre que je n’ai pas écrit)
- il y a 6 jours
Célestin de Meeûs : « Mon roman peut se lire comme la rencontre de deux, voire d’une multitude de soliloques » (Mythologie du .12)
- 9 sept.
Laure Defiolles : « Le deuxième roman est tout simplement l’étape où l’on sait qu’un écrivain est capable (ou pas) de transformer l’essai »
- 9 sept.
Joy Majdalani : Ni victimes ni icônes (Jessica seule dans une chambre)
- 9 sept.
Etienne Kern : « Les perdants offrent un matériau romanesque privilégié parce qu’ils montrent l’image la plus juste de notre condition » (La Vie meilleure)
- 8 sept.
Premiers romans, deuxièmes romans
- 6 sept.
Hélène Giannecchini : Réinventer les liens de filiation pour « tenir ensemble » (Un désir démesuré d'amitié)
- 6 sept.
Laure Gauthier : « Quand on commence à écrire, tout dialogue : depuis les paysages qu’on traverse jusqu’aux films, aux rencontres » (Mélusine reloaded)
- 6 sept.
Amira Ghenim : Le goût amer de la domination des femmes (Le Désastre de la maison des notables)
- 5 sept.
Cracker l'époque : Edouard Morena (épisode 1)
- 4 sept.
Jennifer Tamas : « On peut situer la galanterie dans l’histoire des sexualités et comprendre la révolution culturelle » (Peut-on encore être galant ?)
- 4 sept.
Lucie Taïeb : enquête dans les ruines hantées du capitalisme (La Mer intérieure)
- 4 sept.
Gwenaëlle Aubry : dépersonnaliser, dit-elle
- 3 sept.
Julia Deck : « Jusque-là, je m’étais refusée à utiliser le matériel autobiographique : un tel interdit, cela ressemblait à un désir refoulé » (Ann d’Angleterre)
- 3 sept.
Ananda Devi : « L’histoire commune de l’humanité nous éclaire et nous condamne » (La nuit s’ajoute à la nuit)
- 3 sept.
Eva Baltasar : voix sauvage, poétesse aguerrie (Mammouth)
- 2 sept.
Louise Chennevière : « L’imaginaire de la jeune fille, que je cherche à démonter, a imposé une violence réelle à nos corps » (Pour Britney)
- 2 sept.
Julia Deck : À la poursuite de ma mère (Ann d’Angleterre)
- 2 sept.
Lucile Novat : « Les prises de parole des meufs kamikazes sont les courroies de transmission qui autorisent la discussion » (De grandes dents)
- 1 sept.
Rentrée féminine, rentrée féministe
- 29 août
Un cinéma « augmenté », mais à rebours
- 22 août
Entre mots et images : Les phototextes d'Annie Ernaux et Lalla Romano
- 9 août
Les Collatérales de Lagrasse : Toutes les images disparaîtront
- 8 août
Les Collatérales de Lagrasse : l'effet "Mobile Homme"
- 7 août
Les Collatérales de Lagrasse : Les orages sont nos guetteurs
- 6 août
Les Collatérales de Lagrasse : Les rumeurs viennent toujours d'ailleurs
- 5 août
Les Collatérales : chroniques du Banquet de Lagrasse
- 4 août
Banquet de Lagrasse, ce dimanche : Emma Marsantes, Célia Houdart, Benoît Peteers, Sylvain Venayre...
- 2 août
Banquet du livre de Lagrasse 2024 : "Penser et regarder ailleurs" (3-9 août)
- 25 juil.
Portraits de vie : l’écriture photographique d’Annie Ernaux
- 18 juil.
Ridha Boulaâbi : Œuvres francophones et nouvel orientalisme postcolonial (Orientalism writes back)
- 9 juil.
Collateral sur la route des vacances...
- 6 juil.
L’identité dans la B.D. : De l’identité du héros au héros sans identité…
- 5 juil.
Boris Groys : L'Europe contemporaine : à la recherche de biotopes culturels
- 29 juin
Qui a peur de Monique Wittig ?
- 29 juin
Arielle Castellan : « Parce que oui, avec Wittig, c’est un autre imaginaire qui se dégage, infiniment poétique, infiniment … féminin sans l’être »
- 28 juin
Ilana Eloit : « Si la phrase "les lesbiennes ne sont pas des femmes" inspire tant aujourd’hui, c’est parce que Wittig interroge l’articulation entre domination patriarcale et régime hétérosexuel»
- 28 juin
L’Oreille musicale n°8 : Expérimentations électroniques
- 28 juin
Catherine et les fantômes
- 27 juin
Cracker l'époque : Louisa Yousfi (épisode 2)
- 26 juin
Eléonore Lépinard : « Un des moteurs de l’écriture de Wittig est de retourner la violence patriarcale en faisant des femmes un sujet dans la langue »
- 26 juin
Laëtitia Deleuze : « Avec 'L’Opoponax', j’ai été fascinée par l’écriture kinésique et cinématographique de Wittig »
- 26 juin
Amina Damerdji : « L’écriture est pour moi un exercice d’empathie »