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Séverine : Des monstres qui montrent (Décharge)
Dans Décharge , long poème à la deuxième personne qui n’est qu’un je en suspens, Séverine Daucourt remonte l’enfance dans une maison-gouffre, cratère d’un Hiroshima domestique. Elle écrit ce que signifie survivre assez longtemps pour, à cinquante-quatre ans, après quarante années de trou noir, devoir décacheter le paquet de mémoire resté scellé. Né de l’urgence de ne pas sombrer, ce texte forge une langue à la mesure de ces souvenirs bâillonnés. Décharge vient inscrire dans

Diana Carneiro
il y a 3 jours
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