Alexis Weinberg : « Pour moi, la puissance d’interpellation poétique de Duras n’a pas chuté, après tant d’années »
- 7 mai
Virginie Poitrasson : « Grâce à Duras, je me suis autorisée dans l’écriture à hurler, et plus seulement à murmurer »
- 6 mai
Stéphane Bouquet : « Il y a, qui me touche beaucoup chez Duras, une utopie de la caresse »
- 6 mai
Gaëlle Obiégly : « Marguerite Duras vient dans mes rêves »
- 6 mai
Emma Marsantes : « Ce qui me captive dans l’écriture de Duras, c’est l’obscurité du réel qui reste supérieure au récit que l’on peut en faire »
- 3 mai
Jean-Michel Espitallier : « Derrière la haine de Duras, il y avait une haine de la littérature, une haine des femmes émancipées »
- 3 mai
Véronique Bergen : « Davantage que marquée, j’ai véritablement été tatouée par des personnages, des livres de Duras »
- 3 mai
Sandra Moussempès : « Chez Duras, j’aime cette approche organique de l'écriture, ce respect de la langue dans la langue»
- 2 mai
Soirée de présentation du collectif "Duras, Mythe(s) écriture et création" sous la direction de Simona Crippa et Sylvie Loignon (Reid Hall, Columbia Global Center, Paris)
- 1 mai
Antoine Wauters : « Quand je me suis mis à écrire, il y avait quelques personnes à mes côtés et Duras en faisait partie »
- 1 mai
Nane Beauregard : « Je ne sais pas ce qu’il en serait d’un monde sans Duras aujourd’hui »
- 1 mai
Pauline Peyrade : « Ce qui me fascine le plus chez Duras, c’est le fait qu’elle transforme tout en écriture »
- 30 avr.
Louise Chennevière : « J’ai la voix de Duras au creux de l’oreille »
- 30 avr.
Philippe Vilain : « Ce qui me fascine le plus chez Duras, c’est son pouvoir de produire une parole transcendante, prompte à atteindre la puissance du mythe »
- 30 avr.
Jean Pierre Ceton : « Les silences de Duras qui étaient sa façon de penser manquent dans le chaos médiatique »
- 29 avr.
Christophe Honoré : « Très vite, j’ai compris que c’était mal vu de lire Duras »
- 29 avr.
Colette Fellous : « L’impossible aura toujours été la recherche principale de Duras, le point de départ de tous ses livres »
- 29 avr.
Blandine Rinkel : « Ce qui me fascine le plus chez Duras : ces silences, son acuité, la nuit qu’elle transporte »