Michel Murat : Une intervention critique capitale (Les Javelots de l'avant-garde - Poésie en France 1960-1980)
Gilles Philippe : « Mon travail est aussi une interrogation sur le canon et sur le statut du 'grantécrivain' »
Jennifer Tamas : « Nous passions notre vie à lire des livres d’hommes et à nous pencher sur des théories fondées par des hommes »
Florent Coste : vivons-nous après la théorie ? (L’Ordinaire de la littérature)
Cécile Vallée : « Les théories littéraires ne sont pas suffisantes pour accéder à tous les enjeux d’une œuvre »
Jean-Marc Baud : « Si la théorie a besoin d’un feu de rébellion, c’est peut-être davantage pour des raisons stratégiques que de vitalité interne »
Vincent Berthelier : « La critique littéraire n’est plus la locomotive de la théorie »
Charles Coustille : « Globalement, j’ai fait preuve d’une certaine paresse théorique, assez propre à ma génération »
Jan Baetens : « Le va-et-vient entre théorie et pratique ne fonctionne qu’à condition de rejeter toute hiérarchie »
Delphine Edy : « Je suis pour une « déterritorialisation » de la critique qui prenne en compte l’ensemble des enjeux »
Mathilde Roussigné : « Qui a besoin aujourd’hui de « la théorie » alors que partout, ça pense ? »
Alexis Weinberg : « Je conçois la théorie littéraire non pas comme un savoir clos et achevé, mais comme un aiguillon pour la pensée »
Justine Huppe : « On a beaucoup à gagner à écouter des voix qui ont contrecarré, depuis des espaces dominés, les façons d’écrire la théorie »
Juliette Riedler : « Je devais sentir le caractère nécessaire (presque vital) de l’élaboration d’une théorie »
Neige Sinno : « La jeunesse me semble bien plus théorique qu’il y a vingt ans »
Jean-Michel Devésa : « La Littérature, c’est l’Histoire + le désir travaillant la langue »
Christiane Chaulet Achour : « Comment rêver de combattants quand on met de côté les penseurs et théoriciens qui pourraient faire bouger les lignes ? »
La théorie, tombeau de la littérature ?