Jacques Rancière : « La libération ne vient pas de la connaissance de sa condition mais au contraire de la volonté de ne plus la connaître »
Rentrée littéraire 2024
Louise Chennevière, Lucile Novat, Julia Deck, Hélène Gaudy, Eva Baltasar, Célestin de Meeûs, Eliot Ruffel ou encore Shane Addad : tels sont les premiers noms qui, selon Collateral, font de cette rentrée littéraire 2024 une rentrée placée sous le signe du féminisme et de la puissance retrouvée des luttes.
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"Houris" de Kamel Daoud ou… écrire sa catabase
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"Fugues" ou les aventures du premier roman
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Claude Faber : « Le rôle du libraire est plus important pour le deuxième roman »
- il y a 5 jours
Marie Vingtras : « Les premiers romans semblent être une vraie passion française » (Les Âmes féroces)
- il y a 5 jours
Guillaume Marie : L’écriture en état de grâce (Je vais entrer dans un pays)
- il y a 5 jours
Louise Bentkowski : « Si la parenté avait à voir avec l’invention, je voulais pouvoir revoir l’histoire inventée sur laquelle je reposais » (Constellucination)
- il y a 6 jours
Laure Gouraige : « Comme écrivaine, je m’inquiète d’être répétitive » (Le Livre que je n’ai pas écrit)
- il y a 6 jours
20 ans après « Kiffe kiffe demain » : entre Faïza Guène et son double littéraire Doria « ça bouge pas »
- il y a 6 jours
Célestin de Meeûs : « Mon roman peut se lire comme la rencontre de deux, voire d’une multitude de soliloques » (Mythologie du .12)
- 9 sept.
Laure Defiolles : « Le deuxième roman est tout simplement l’étape où l’on sait qu’un écrivain est capable (ou pas) de transformer l’essai »
- 9 sept.
Joy Majdalani : Ni victimes ni icônes (Jessica seule dans une chambre)
- 9 sept.
Etienne Kern : « Les perdants offrent un matériau romanesque privilégié parce qu’ils montrent l’image la plus juste de notre condition » (La Vie meilleure)
- 6 sept.
Hélène Giannecchini : Réinventer les liens de filiation pour « tenir ensemble » (Un désir démesuré d'amitié)
- 6 sept.
Laure Gauthier : « Quand on commence à écrire, tout dialogue : depuis les paysages qu’on traverse jusqu’aux films, aux rencontres » (Mélusine reloaded)
- 6 sept.
Amira Ghenim : Le goût amer de la domination des femmes (Le Désastre de la maison des notables)
- 4 sept.
Jennifer Tamas : « On peut situer la galanterie dans l’histoire des sexualités et comprendre la révolution culturelle » (Peut-on encore être galant ?)
- 4 sept.
Lucie Taïeb : enquête dans les ruines hantées du capitalisme (La Mer intérieure)
- 4 sept.
Gwenaëlle Aubry : dépersonnaliser, dit-elle
- 3 sept.
Julia Deck : « Jusque-là, je m’étais refusée à utiliser le matériel autobiographique : un tel interdit, cela ressemblait à un désir refoulé » (Ann d’Angleterre)
- 3 sept.
Ananda Devi : « L’histoire commune de l’humanité nous éclaire et nous condamne » (La nuit s’ajoute à la nuit)
- 3 sept.
Eva Baltasar : voix sauvage, poétesse aguerrie (Mammouth)
- 2 sept.
Louise Chennevière : « L’imaginaire de la jeune fille, que je cherche à démonter, a imposé une violence réelle à nos corps » (Pour Britney)
- 2 sept.
Julia Deck : À la poursuite de ma mère (Ann d’Angleterre)
- 2 sept.
Lucile Novat : « Les prises de parole des meufs kamikazes sont les courroies de transmission qui autorisent la discussion » (De grandes dents)
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