Eric Fournier : Hantises du Grand Soir (« Nous reviendrons ! »)
Écriture et sciences sociales : remarques sur la situation actuelle
Mathieu Simonet : « Depuis dix ans, je m’intéresse au droit des nuages, sous une forme poétique »
Relire Jules Verne à la lumière de la question environnementale
Stéphane Audeguy : « Une écologie conséquente ne saurait dissocier l’imaginaire humain et la forêt de ses contes du souci à l’égard des forêts dites réelles »
Cracker l'époque : Alain Damasio (épisode 1)
Virginie Poitrasson : « On pourrait dire que toute écriture débute par un paysage »
Notorious, l’amour baiser
Denis Infante : « Nous partageons le même territoire que les formes de vie sauvage, la même terre et nous les connaissons si peu »
Caroline Lamarche : « La poétique du vivant n’est pas seulement contemplative : elle est sociale, féministe et soucieuse des laissés-pour-compte »
Suzanne El Kenz : Une vie d’exils : la Palestine ineffaçable (De glace et de feu)
Jean-Michel Espitallier : « Ecrire ça n’est pas faire de l’art, c’est créer de la vie »
Tanguy Viel : « Si la littérature se retrouve dans la conscience écologique, c'est parce que la nature, le vivant sont les nouveaux opprimés » (Vivarium)
Sylvie Gouttebaron : « Il faudrait être franchement inconscient ou cynique pour ne pas considérer la cause écologique comme essentielle, prioritaire même, au présent comme à l’avenir »
Ananda Devi : le cri de l’île (Le jour des caméléons)
Ecopoétique, politique et hyper contemporain
Vie et revie littéraires : Mireille Best (Les Mots de hasard)
« Un appétit étrange » : Écrire le désir des filles de treize ans dans Le Goût des Garçons
Gabriela Larrain : « En dépit de collections consacrées aux féminismes, il n’existait pas encore de collection de poche dédiée »