Julie Rossello Rochet : « Marguerite Duras incarnait pour moi une grande prêtresse écrivaine »
Alexis Weinberg : « Pour moi, la puissance d’interpellation poétique de Duras n’a pas chuté, après tant d’années »
Virginie Poitrasson : « Grâce à Duras, je me suis autorisée dans l’écriture à hurler, et plus seulement à murmurer »
Stéphane Bouquet : « Il y a, qui me touche beaucoup chez Duras, une utopie de la caresse »
Gaëlle Obiégly : « Marguerite Duras vient dans mes rêves »
Emma Marsantes : « Ce qui me captive dans l’écriture de Duras, c’est l’obscurité du réel qui reste supérieure au récit que l’on peut en faire »
Jean-Michel Espitallier : « Derrière la haine de Duras, il y avait une haine de la littérature, une haine des femmes émancipées »
Véronique Bergen : « Davantage que marquée, j’ai véritablement été tatouée par des personnages, des livres de Duras »
Sandra Moussempès : « Chez Duras, j’aime cette approche organique de l'écriture, ce respect de la langue dans la langue»
Soirée de présentation du collectif "Duras, Mythe(s) écriture et création" sous la direction de Simona Crippa et Sylvie Loignon (Reid Hall, Columbia Global Center, Paris)
Antoine Wauters : « Quand je me suis mis à écrire, il y avait quelques personnes à mes côtés et Duras en faisait partie »
Nane Beauregard : « Je ne sais pas ce qu’il en serait d’un monde sans Duras aujourd’hui »
Pauline Peyrade : « Ce qui me fascine le plus chez Duras, c’est le fait qu’elle transforme tout en écriture »
Louise Chennevière : « J’ai la voix de Duras au creux de l’oreille »
Philippe Vilain : « Ce qui me fascine le plus chez Duras, c’est son pouvoir de produire une parole transcendante, prompte à atteindre la puissance du mythe »
Jean Pierre Ceton : « Les silences de Duras qui étaient sa façon de penser manquent dans le chaos médiatique »
Christophe Honoré : « Très vite, j’ai compris que c’était mal vu de lire Duras »
Colette Fellous : « L’impossible aura toujours été la recherche principale de Duras, le point de départ de tous ses livres »
Blandine Rinkel : « Ce qui me fascine le plus chez Duras : ces silences, son acuité, la nuit qu’elle transporte »
Duras, notre contemporaine