top of page


La littérature, au bon et mauvais sens du terme
Jean-Benoît Puech (c) DR Le mot de littérature ne va plus sans avertissement ni guillemets. La méfiance s’impose quand elle se montre « au mauvais sens du terme », celui d’une langue figée par les conventions, victime d’une rhétorique surannée, empêtrée dans une tradition incapable de saisir les enjeux, les questions mais aussi la langue d’une époque qui change. Une telle littérature n’est pas seulement haïssable, elle est devenue « inadmissible ». Les tentatives de trouver

Jan Baetens
il y a 15 heures
Â
bottom of page




