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Mathilda Di Matteo : « Plus je creusais derrière les masques et les boucliers, plus je gagnais en profondeur de champ » (La Bonne Mère)
Mathilda Di Matteo (c) Marie Rouge Si la couverture acidulée annonce bien le rythme romanesque enlevé, les personnages désopilants et émouvants, le ton dynamique, percutant et drôle de ce premier roman de Mathilda Di Matteo, elle pourrait dérouter le lecteur qui ne voudrait pas seulement se divertir. Pourtant, ce roman, comme ceux présentés dans l’édito de cette rentrée littéraire, propose « une politique des mères, de la maternité et du matrimoine contre les violences pat

Cécile Vallée
il y a 5 jours
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