Patrick Boucheron : “Je suis convaincu que l’histoire, comme discipline, ne s’affaiblit pas en exposant ses insuffisances” (Léonard et Machiavel)
Scientifiques en rébellion : "Nous sommes des scientifiques portant une parole militante parmi nos collègues concernant la science, son utilité sociale"
Mickaël Tempête : "Ce qui a motivé mon écriture est le constat d’un échec des politiques de normalisation de l’homosexualité pour lutter contre ce qui la réprime"
Martin Le Chevallier : "Les actes d’activistes ont pour visée de dénoncer. Dénoncer une oppression, une domination. Dénoncer pour réagir" (Répertoire des subversions)
Johan Faerber : Militer, verbe sale de l'époque
La Revue des Belles-Lettres : “Fonder une revue, c’est indubitablement un geste politique : une forme de militance, à bas bruit”
Pierre Poligone : “La revue papier Zone Critique est née d’un amour de l’objet imprimé et du papier”
Revue Foehn : “Fœhn veut revenir sur une perception plus juste des non-humains dans leur ensemble"
La revue Transat' : "À son échelle modeste, Transat’ existe pour rappeler que toute langue, toute culture, est poreuse"
Les Temps qui restent : "Dans un univers médiatique de plus en plus segmenté, la tâche d’une revue nous semble être de fissurer les blocs idéologiques"
Cracker l'époque : Johan Faerber (épisode 2)
Juliette Rousseau : “Aujourd’hui je vois une double généalogie, genrée et rurale, dans ce rapport honteux et méfiant à l’écriture littéraire” (Péquenaude)
Cracker l'époque : Johan Faerber (épisode 1)
Emmanuelle Lambert : “Plus qu'un droit à la critique, je crois que les écrivains ont un devoir de distance par rapport à la société” (Aucun Respect)
Lionel Ruffel : “La question c’était comment continuer à désirer écrire sans désirer jouer à l’Auteur avec un A majuscule ?” (Trois éveils)
Hélène Gaudy : “Mon livre est devenu une expérience vivante, qui ne cherche pas tant à approcher une vérité qu’à faire bouger les rôles que chacun tient en famille” (Archipels)
Jacques Rancière : « La libération ne vient pas de la connaissance de sa condition mais au contraire de la volonté de ne plus la connaître »
Marie Vingtras : « Les premiers romans semblent être une vraie passion française » (Les Âmes féroces)
Louise Bentkowski : « Si la parenté avait à voir avec l’invention, je voulais pouvoir revoir l’histoire inventée sur laquelle je reposais » (Constellucination)
Laure Gouraige : « Comme écrivaine, je m’inquiète d’être répétitive » (Le Livre que je n’ai pas écrit)