Tanguy Viel : « Si la littérature se retrouve dans la conscience écologique, c'est parce que la nature, le vivant sont les nouveaux opprimés » (Vivarium)
Sylvie Gouttebaron : « Il faudrait être franchement inconscient ou cynique pour ne pas considérer la cause écologique comme essentielle, prioritaire même, au présent comme à l’avenir »
Ecopoétique, politique et hyper contemporain
Gabriela Larrain : « En dépit de collections consacrées aux féminismes, il n’existait pas encore de collection de poche dédiée »
Catherine Tourné Lanskine : « Le mot désir me semble le plus important pour parler de ce qui a présidé à la création de la collection poche »
Julie Thévenet et Cyriac Allard : « "Souterrains" est une collection née du désir de contourner le dictat de la nouveauté en remettant en lumière nos parutions »
Chloé Pathé : « Le poche permet de créer de la nouveauté »
David Rey : « On n’a jamais rien inventé de plus moderne que le format poche, et pourtant, on continue à le moderniser »
Éditions Verdier : « Pour de jeunes auteurs, peut-être que le passage en poche installe autrement leurs textes dans le paysage littéraire »
Le livre de poche, acteur social et politique de l’époque ?
Sébastien Fontenelle : « Les macronistes se montrent beaucoup plus avenants à l’égard de l’extrême droite qu’à l’égard de la gauche »
Emma Marsantes : « #MeToo m’a ouvert les seuils d’une possible communauté, mais avec une limite : l’amour des miens »
Claire Fercak : « Je voulais creuser ce sentiment bancal que j’avais éprouvé : être comme une étrangère dans son pays d’origine enfin découvert »
Marielle Hubert : « Mon projet était de bâtir un roman sur ce à quoi peut ressembler l’amour mère-fille : impossible, déraisonnable et gigantesque »
Claire Sécail : « Cyril Hanouna n’est qu’un pion de la bataille culturelle que mène l’extrême droite pour préparer une victoire électorale »
Camille Bloomfield : « Si on maintient le Printemps des Poètes, comment réformer cette institution en profondeur ?»
Tesson est un « grand écrivain » : la Sorbonocratie au secours de la Nation
Vincent Berthelier : « Du côté des lettres, il nous reste une double tâche : défendre notre camp et défendre la littérature tout court»
Olivier Mellano : « C’est peut-être en nommant précisément ce que sont aujourd’hui la droite et l'extrême droite qu'on découvrira ce que pourrait redevenir une gauche »
L'extrême droite a-t-elle gagné la bataille culturelle ?