Caroline Lamarche : « La poétique du vivant n’est pas seulement contemplative : elle est sociale, féministe et soucieuse des laissés-pour-compte »
Suzanne El Kenz : Une vie d’exils : la Palestine ineffaçable (De glace et de feu)
Jean-Michel Espitallier : « Ecrire ça n’est pas faire de l’art, c’est créer de la vie »
Tanguy Viel : « Si la littérature se retrouve dans la conscience écologique, c'est parce que la nature, le vivant sont les nouveaux opprimés » (Vivarium)
Sylvie Gouttebaron : « Il faudrait être franchement inconscient ou cynique pour ne pas considérer la cause écologique comme essentielle, prioritaire même, au présent comme à l’avenir »
Ananda Devi : le cri de l’île (Le jour des caméléons)
Ecopoétique, politique et hyper contemporain
Vie et revie littéraires : Mireille Best (Les Mots de hasard)
« Un appétit étrange » : Écrire le désir des filles de treize ans dans Le Goût des Garçons
Gabriela Larrain : « En dépit de collections consacrées aux féminismes, il n’existait pas encore de collection de poche dédiée »
Cracker l'époque : Tristan Garcia (épisode 2)
Catherine Tourné Lanskine : « Le mot désir me semble le plus important pour parler de ce qui a présidé à la création de la collection poche »
La Beauté du geste : mémoire de la « Parole d’avant les mots »
Vie et mort d’une collection de poche : les écrivains francophones du Sud dans les formations
Julie Thévenet et Cyriac Allard : « "Souterrains" est une collection née du désir de contourner le dictat de la nouveauté en remettant en lumière nos parutions »
Culture pauvre, pauvres grincheux
Chloé Pathé : « Le poche permet de créer de la nouveauté »
David Rey : « On n’a jamais rien inventé de plus moderne que le format poche, et pourtant, on continue à le moderniser »
Éditions Verdier : « Pour de jeunes auteurs, peut-être que le passage en poche installe autrement leurs textes dans le paysage littéraire »
Le livre de poche, acteur social et politique de l’époque ?