Elodie Pinel : « Avec Wittig, on parle pour ne pas frapper. On parle pour qu’on ne nous frappe plus »
Clément Kalsa et Julien Spanti : Une matrice pour « rejointer » le temps ? (Suture)
Emilie Notéris : « Il y a chez Wittig un appel à la constitution d’un imaginaire en prise directe avec le réel, susceptible de le faire vaciller »
Stéphanie Garzanti : « La langue française étant très genrée, elle apparaît comme restrictive. C’est un endroit où la littérature de Wittig élargit les perspectives »
Véronique Bergen : « La force de l’écriture de Wittig, je la perçois dans l’au-delà de la militance, dans son déchaînement d’affects »
Laure Lévêque : Le monde en son devenir (Le Rouge ou le Noir ?)
Exposition "Gabriele Münter, Eudora Welty : au début la photographie" au Pavillon Populaire de Montpellier
Cyrille François : « La fréquentation passée de « voix francophones » m’aide aujourd’hui à être attentif à ce que les personnes disent de leur vécu »
Cracker l'époque : Louisa Yousfi (épisode 1)
Eléonore Lépinard : « Maintenir, élargir, réparer le matrimoine, c’est participer à ce retour critique du féminisme sur lui-même » (Féminisme)
Jan Baetens : Mon jardin des plantes ("Sous l'eau...")
Florence Jou : Payvagues (2)
Sandra Lucbert : La vie psychique de ce pouvoir
Jan Baetens : Mon jardin des plantes ("Contre le livre du monde...")
Sandra Moussempès : Fréquence Mulholland ("Des mains...")
« Transfuges » en postcolonie et en colonie ?
Jan Baetens : Mon jardin des plantes ("Ce jardin...")
Florence Jou : Payvagues
Mohamed Amer Meziane : une pensée écologique et décoloniale
Jennifer Lavallé : Ecarlates